• Nuit de noces

    Le grand jour est arrivé, nous venons de nous marier, la fête bat son plein dans la salle que nous avons loué, il est tard trois ou quatre copains d’André sont déjà  partis et nous avons décidé d’en faire autant aussi nous nous éclipsons en douce.

    Nous arrivons à l’hôtel où nous avons réservé en toute discrétion une grande chambre. André entrouvre la porte me prend dans ses bras :

    -Je te réserve une grande surprise ma chérie ferme les  yeux et surtout ne les ouvre que lorsque je te le dirai et cela quoi qu’il arrive.

    -Promis.

    André me porte près du lit, me déshabille, m’allonge les jambes pendante sur le rebord.

    -garde les yeux fermés

    Je sens aussitôt plusieurs mains qui caressent mon corps, j’ai envie d’ouvrir les yeux mais je me retiens, des mains pétrissent mes seins d’autres caressent mon ventre, mes cuisses, je ne peux résister et je les écarte davantage. Des doigts s’insinuent dans ma chatte.je mouille de plaisir

    -Ouvre les yeux ma chérie.

    Quatre amis sont là à poil à me caresser.

    -tu exauces mes souhaits murmurais-je en me faisant prendre par plusieurs hommes …

    J’enfourne la première verge qui se présente devant ma bouche, elle est de belle dimension je goute ce plaisir immense de sucer, une autre entre dans ma fente trempée et commence son va et vient, je suis  aux anges, au bout de quelques instants les deux amis se retirent, Jean qui me pétrissait les seins s’allonge sur le dos, je lui fais face et m’empale sur son pieu. Je m’allonge sur lui pour mélanger ma langue avec la sienne, Robert se place derrière moi, lèche et mouille mon anus, je sens son membre qui cherche l’entrée, la trouve, ça y est je suis prise en sandwich.

    Mon mari et Bernard regardent excités le tableau  en se masturbant.

    -Ouiiiiiiiii……… prenez moi…………….. c’est bonnnnnnnnnnn…..

    Les deux copains me bourrent remplissant mes deux trous j’ai plusieurs orgasmes successifs lorsque je sens leur jouissance. Leur foutre jaillit en moi simultanément. Je me laisse aller comblée.

    Ce n’est pas tout clament mon mari et Bernard c’est notre tour maintenant. Je fus comblée ainsi toute la nuit.

     

     

    Nuit de noces

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